C'est éfficace mais très long.
A défaut, je vous suggère la méthode rapide utilisée par les monteurs de chapiteaux pour arrimer les grands mats en terrain meuble.
Si vous de disposez pas de longue barre à mine, deux piquets de bois d'environ 80 cms, dont 60 enfoncés (chiffres variables selon terrain) feront l'affaire.
Vous ferez un tour mort arrété avec un solide noeud sur le 1er et l'anneau ou le crochet de l'extremité arrimé au 2eme poteau (pas de mou entre les 2).
Celui coté traction, doit être planté avec une inclinaison formant un angle droit avec le cable, c'est à dire incliné à l'opposé du 4x4 "planté".
Le second, planté à 60/80cms du 1er,(variable selon terrain),doit l'être bien dans l'alignement du 4x4 et du 1er poteau. Il doit être planté verticalement pour aller le plus profond possible.
L'astuce consiste à ne pas faire subir l'effort oblique de la traction sur le 1er .
Si c'était le cas, cette traction avec une composante vers le haut, puisque le treuil n'est pas au ras du sol , favoriserait l'arrachage du piquet.
C'est là où le 2eme piquet, étant relié au 1er, ne subissant qu'un effort latéral, pourra aider le 1er à ne pas s'arracher trop facilement.
cliquer sur les photos pour les agrandir.
 |
 |
MECA PARTS 51, avenue Pierre Bérégovoy 18000 Bourges 02 48 50 57 57 CORTECO-MEILLOR SAS Z.A. la Couture 87140 Nantiat 05 55 53 68 00 Fax : 05 55 53 59 50
Attention : avant d'incriminer la culasse ou son joint, vérifier les fuites aux durites, radiateur, pompe à eau, tension des courroies et état du viscocoupleur du ventilateur.
PROCEDURE POUR VERIFIER L'ETAT DU JOINT OU DE LA CULASSE AVANT DEMONTAGE :
Nota : une défectuosité de culasse ou de son joint présentant les mêmes symptômes, il est impossible de faire un diagnostic fiable sans démontage.
1er : enlever le bouchon du radiateur ou du vase d'expansion si ce dernier est plus haut.
2ème : mettre en marche le moteur et verser du liquide de refroidissement ou de l'eau par un des orifices choisis quand l'aiguille du thermomètre sera décollée du zéro.
3ème : compléter le niveau en faisant déborder l'orifice de remplissage en permanence tout en donnant des coups d'accélérateur.
Si des bulles d'air continuent d'apparaître après 1 minute environ de ce traitement, l'avarie est certaine.
Nota : l'urgence de l'intervention est proportionnelle à la grosseur des bulles, c'est-à-dire si elles n'excèdent pas la grosseur d'un petit pois et au rythme d'une par 5 à 10 secondes, vous pouvez rouler sans gros risques dès lors que vous ne remettez pas le bouchon sur l'orifice en question et surtout, que vous ne sollicitiez pas le moteur plus que le mi régime et parfois moins, selon la baisse du niveau d'eau constatée après des contrôles dont la fréquence sera forcément fonction des variations de ce niveau.
L'urgence dépend de l'intensité du bruit (de zéro à X milliers de kms ! selon effort demandé). Le danger est imminent quand le "ronronnement" se transforme en "grenaillement". En insistant, l'échange des roulements se transformera en échange de boîte… (soit à la louche, du simple au quintuple !).
Faute de graisser les embouts d'arbre de roue en même temps que les roulements (5 boulons de 17 à enlever), les cannelures s'useront au point de ne plus entraîner la roue. Si vous espacez trop cette opération en cas d'usage en milieu humide ou sale, la partie femelle de la tulipe d'entraînement sera soudée par la rouille sur l'arbre et il faudra la découper à la disqueuse (pas facile, facile !).
